Nom du pouvoir : Régénération Cellulaire.
Description du pouvoir : On pourrait dire que c'est actif à l'intérieur et que ça se voit à l'extérieur, je trouve que ça résume assez bien la chose. Tout ça c'est une histoire de cellule qui se régénère. Le principe est simple, une cellule meurt et une autre vient la remplacer ce qui, je vous l'accorde, reste un concept assez flou quand on est pas dans la recherche scientifique. Faisons plus clair ; prenons un couteau et entaillons nous le bras. L'un comme l'autre nous allons saigner, c'est un fait. En revanche ma blessure guérira plus vite que la votre et contrairement à vous je n'aurais pas de cicatrice. Pour la petite histoire j'ai tenté de me couper un doigt pour vérifier les limites de ce « pouvoir » et oui, ça repousse. Généralement les gens associe ce genre de don avec les légendes de vampire mais je vous rassure que je n'ai pas besoin de boire du sang pour que ça fonctionne, en revanche il me faut tout de même une alimentation saine. Je suis un homme comme les autres, du moins à la base, et il me fait tout de même du repos pour que la régénération se fasse aussi rapidement qu'elle peut se faire chez moi. En revanche je suis d'avis qu'on peut l'associer à l'immortalité bien que je n'ai pas non plus tenté de me jeter sous un rouleau compresseur pour vérifier. Le seul ennui c'est qu'on ne verra sans doute jamais à quoi on pourrait ressembler en vieillissant. Le point négatif c'est surtout la mémoire, à force de traverser les âges vous avez tendance à oublier une partie du passé, surtout quand vous existez depuis près de 600 ans. Mais je ne vous ai parlé que des blessures physiques, il y a les microbes aussi et les maladies. Je peux tomber malade, oui, mais ça durera moins longtemps et je me rétablirais bien plus vite, du moins pour les symptômes les moins agressifs et n'ayant jamais eu de cancer ou quoi je ne peux pas dire si je m'en remettrais. La seule chose qui ne change pas avec des gens normaux c'est la douleur. Ca c'est commun à toutes les espèces et je ne suis pas à l'abri de ça lorsque je me blesse, alors imaginez ce que ça fait de tomber du troisième étage et de se relever.. Voyez le truc.
Maitrise : Peut on vraiment parler de maitrise sur quelque chose qu'on ne contrôle pas vraiment.. Je dirais plutôt que j'ai appris à composer avec et à accommoder mon mode de vie à mon pouvoir. Disons qu'en réalité j'ai évolué avec ma régénération. Au départ, je ne vais pas vous mentir, c'était assez chaotique entre la douleur lorsque je me blessais et la guérison qui se faisait partiellement j'avais l'air très fin. Certaines parties de mon corps se régénérées bien plus vite que d'autre, ce qui parfois pouvait poser quelques problèmes de crédibilité. Avec la famine qui touchait une époque, les maladies qui en touchaient une autre puis les guerres, autant dire que je ne ressemblais plus à grand chose. C'est comme ça que j'ai appris qu'il me fallait une alimentation plutôt saine pour permettre à mon corps de faire le grand nettoyage dans mes cellules avec plus de rapidité. Il a fallu évoluer avec le temps et les nouvelles découvertes, accommoder son corps aux nouvelles expériences et surtout prendre soin de ne jamais se laisser croire qu'on est invincible ; sinon c'est la perte assurée. Au départ mon corps gardait les marques de mes accidents et même si je recouvrais la totale fonction d'un membre, il me fallait cacher les affreuses cicatrices ou parfois les blessures béantes. Progressivement j'ai emmagasiné des connaissances, certaines recherches effectuées m'ont permis de développer ce que j'appellerais mon immunité cellulaire, avouez que ça sonne mieux quand même. A force de pratique et d'entraînement – se faire une coupure, se tordre un doigt – j'ai fini par comprendre mon mode de fonctionnement cellulaire et en user, même en abuser. Si c'était éprouvant de guérir, c'est devenu monnaie courante désormais et il ne se passe que quelques secondes avant que je retrouve la santé.
Spoiler : Si j'y suis allé ce n'était pas pour subir le traitement, étant donné que je n'en ai pas besoin. Primo je n'ai pas de problèmes de sommeil, je dors très bien merci. Secundo, mon pouvoir me suffit amplement. Je n'ai donc pas de spoiler à révélé ici pour vos petites caboches curieuses. Personnellement ça ne plaît pas mais je suis de la vieille école et mes idées me font un peu passer pour un vieux crouton cynique. Le fait est que je suis partagé sur la question et que si je me suis rendue dans une de ces house c'était par pure curiosité, histoire de voir ce qu'il s'y passait réellement et vous n'avez pas idée. Les gens n'ont vraiment pas idée ce qu'il peut se passer dès qu'ils ferment les yeux, c'est assez amusant je dois l'avouer. Mais si ça vous intrigue tant que ça, vous n'avez qu'à vous y rendre de vous même. [/size]

Psychologie/Caractère : On pourrait simplement dire que Faydo est une contradiction à lui tout seul bourré de complexe. Si son apparence n'a rien de bien effrayante, il représente assez bien le proverbe qui dit que l'habille ne fait pas le moine. Sadosky n'est pas franchement beau, et de toute façon il n'aurait pas été de ce qui joue de leur physique mais plutôt de leur mental, mais il sait charmer avec les mots et les gestes, sans jamais partir dans l'obscène. Si le regard et le miroir de l'âme alors il y a de quoi se poser des questions en plongeant ses yeux dans ses prunelles aussi sombre qu'à la leur indéfinie. Si il y a bien une chose que toutes ces années de vie lui ont appris c'est à se méfier, aussi bien d'un sourire amical que d'une démarcher légère. Tout, pour lui, est susceptible de représenter un danger bien que cela n'est pas une psychose, disons seulement qu'il prend ses précautions. D'un naturel méfiant, donc, il garde toujours ses distances devant les aveux d'un coupable ou les confidences d'un ami parce qu'après tout ce qu'il a vu il peut le dire sans crainte ; l'Homme est menteur de naissance. Malgré tout Faydo accorde le bénéfice du doute à qui lui paraît assez crédible, les autres en revanche risquent de goûter à sa colère. Ce n'est pas tant qu'il est colérique et entre facilement dans des rages noires, c'est simplement que si on l'asticote un peu trop il laisse surgir une façade de lui qu'on préférerait ne pas rencontre et qui le pousse à être violent. Bien que ce ne soit pas toujours lui qui se salisse les mains, il a des subordonnés pour ça en général. Ce n'est pas un trouillard malgré tout, au contraire il a même tendance à provoquer les choses mais le tout en subtilité. Il n'ira pas vous insulter d'entrée de jeu pour vous faire sortir de vos gonds, oh ça non, il vous manipulera avec soins pour que vous portiez le premier coup et ainsi lui offriez une chance de porter le dernier. Tout comme il manipule pour énerver les gens, il n'a jamais tort ou alors si il s'avère qu'il se trompait il ne l'admettra pas facilement et n'ira pas non plus s'excuser si il vous a blessé sans raison apparente. Malheureusement il faudra se méfier de son côté revanchard car si monsieur est très doué dans un domaine c'est bien la vengeance, surtout qu'il a une imagination assez fertile. Même si il s'habitue très vite aux changements, il a gardé quelques traces de son éducation d'antan et donc Faydo supporte mal les jurons bien qu'il en use mais avec modération mais si ça sort de la bouche d'une fille .. Autant dire qu'il n'y a pas plus radical pour une jeune femme de se mettre Fay' à dos mais pas d'inquiétudes, il n'aime pas frapper les femmes. Il préfère les mots pour blesser et c'est d'autant plus douloureux que, si il parvient à vous blesser avec quelques belles phrases pleines de froideur, ces blessures là ne guérissent jamais vraiment. Son jeu préféré ? Amoindrir les gens, leur ôter toute illusion d'importance.

Morphologie : Faydo a tout de l'homme de confiance, la démarche sûre parfois un peu flottante, le port de tête bien droit et quand on mesure un mètre quatre-vingt deux ça prend toute sa mesure. Il n'est pas quelqu'un qu'on pourrait qualifier de corpulent ni même de sec, disons simplement qu'il reste dans la normalité et qu'il surveille son poids d'un œil hagard. Il faut dire que l'apparence importe peu à ses yeux et ça se ressent parfois dans sa façon de se tenir, selon si il est avec un cercle privé ou avec des subordonnés ou des gens importants. Très tactile il faut toujours qu'il ait au moins un contact physique avec son interlocuteur, une façon à lui de briser la glace. Par ailleurs, lorsqu'il parle – et plus souvent quand il est passionné par ce qu'il dit – il gesticule énormément mais sans paraître désordonné, non tout est parfaitement coordonné de son apparence un peu approximative à son allure de chef. Concernant son apparence physique – coiffure et autre – il est passé par à peu près tous les stades ; crâne rasé, queue de cheval, coupe très courte, frange.. On peut dire qu'il a toujours accommodé sa coiffure aux époques qu'il a traversé. Mais celle qu'il préfère c'est le cheveux qui tombe sur la nuque et dont il repousse constamment les mèches en arrière. Pour la barbe c'est de la fainéantise, et c'est souvent les femmes qui le rappellent à l'ordre parce que vous comprenez ça fait un peu trop « laisser-aller » les poils sur le menton.
Mais prenez garde à l'apparence qu'il se donne, parce que Faydo est un très bon acteur qui sait très bien tiré profit de l'image qu'il renvoie et celle qu'il vous offre n'est pas forcément la véritable facette du personnage. La seule façon de savoir si il est sincère c'est son regard, ces deux prunelles bleus aciers qui ne manqueront pas de vous glacer si il est en colère ou simplement de vous laisser vous y noyer si il veut vous charmer.

Style vestimentaire : Si il y a bien une chose que Faydo a apprit avec le temps c'est qu'en question vestimentaire les femmes sont nettement plus doués que les hommes. Elles accordent mieux les couleurs, savent ce qu'il vous faut comme couleur ou style et ce en un regard critique. C'est donc avec logique, et une pointe d'humour chez ce personnage atypique, qu'il laisse les femmes se charger de sa garde-robe. A l'époque où Pepper était sa plus proche amie et confidente, il lui demandait toujours son avis ou d'ajouter sa touche de « poivre » - voyez le jeu de mot u.u – à ses tenues. Désormais il confie la tâche à Jamie pour avoir de quoi la taquinait dans ses jours de bonnes grâces.
Si au moyen-âge il suivait les us et coutumes, autant dire que de nos jours suivre la mode relève du défi pour lui au point que parfois ses collants lui manquent. Il faut dire qu'il s'y perd un peu entre les chemises, les t-shirts, les marcel, les pantalons, les pantacourts, les shorts .. Ca ne tiendrait qu'à lui, il se baladerait nu enfin non. En tous les cas je vous déconseille de jeter un œil à la penderie de Faydo, vous risqueriez de vous arraches les cheveux ou les yeux, au choix. Il n'a qu'une sorte de chemise et d'une couleur uni qu'il possède en plusieurs exemplaires, pour les pantalons c'est des jeans pour la plupart dans des couleurs foncés – plus souvent le noir – et il porte toujours un blouson sur lui. Il ne possède qu'une tenue de soirée qu'il sort pour les grandes occasions mais en général il cherche pas à se donner un look en particulier. Pour lui, de toute manière, le physique importe peu et il préfère largement en avoir plein la caboche que plein le placard. Et puis soyons sérieux deux minutes ; il a vraiment la tête de quelqu'un de pointilleux sur la mode ?

Maladie/allergie : A l'âge de 24 ans, environ, Faydo a échappé de peu à l'épidémie de peste ce qui aurait mener à sa perte puisqu'il a toujours eu une certaine fragilité sur le plan médical. Souvent la proie de virus comme le rhume, la grippe, on a longtemps pensé qu'il ne survivrait pas à ses quinze ans ce qui pour l'époque était déjà un âge bien avancé pour un enfant à la santé aussi fragile. Aussi pendant très longtemps on l'a gardé dans sa chambre, lui interdisant de s'ouvrir au monde de peur de le voir mourir ne serait-ce que d'une simple piqure de guêpe. D'ailleurs si on ne voit plus les cicatrices de nos jours, pendant longtemps son bras à été couvert de cicatrice du aux saignées qu'on effectué sur lui pour laver évacuer le mauvais sang. Autant dire qu'il est heureux de voir que la médecine à tout de même évolué depuis le temps.
Jeune, avant la régénération cellulaire, il était allergique aux fraises bien que c'était son fruit préféré ce qui lui causait donc un sérieux problème puisqu'il réitérait constamment l'expérience pour vérifier que c'était bien ce fruit-là et pas un autre. Autant dire que désormais il s'en ferait péter l'estomac.

Il a bien été hospitalisé dans ses débuts de nouveau moi, quand il contrôlait mal son pouvoir, pour des blessures superficiels ou des foulures qui mettaient plus de temps à se soigner malgré un temps tout de même plus rapide que la normale. Pour les grosses blessures, par balles ou armes blanches, il reste chez lui à dormir histoire de récupérer, donc il n'a jamais vraiment été hospitalisé.
Paradoxalement, la seule chose qui soit véritablement gênant chez lui c'est des légers maux de têtes chroniques qui sont souvent provoqués par les nouveaux bruits qu'il découvre ou alors par la rapidité des événements et les évolutions du temps. Rien de bien éreintant malgré tout.

Autres : Il porte une chevalière qu'il garde de son enfance moyen-âgeuse et si on lui demande d'où il la tient il raconte une histoire d'héritage familial. Il possède de nombreux carnets dans lesquels il a retranscrit sa vie, le jour où il a réalisé qu'elle ne se terminerait jamais.

Prologue :
A l'époque les mariages nourrissaient des intérêts des familles, appâts du gain, élargissement des terrains, et mes parents n'y ont pas échappé. Mon père n'était le fils de personne, du moins de noble, et ma mère avait perdu terres et titres suite à un acte de trahison de son père. En revanche si mon père n'était personne il possédait un terrain convoité et assez de pièces pour s'offrir un titre si il l'avait voulu, mais il n'était pas très matérialiste ni très royaliste en fait. On lui avait présenté des jeunes filles comme on aurait présenté une bête à l'abattoir et le choix de mon paternel c'était porté sur une jeune fille qui ne possédait pas grand chose de vraiment attirant ; ma mère. Je ne vais pas vous mentir, elle n'était pas jolie et elle n'était pas belle non plus. Ses cheveux avaient la texture de la paille, sa peau était parsemé de tâche et parfois de cicatrices – vestiges de réprimandes – mais ce qui avait poussé mon père à porté son choix sur elle n'avait rien à voir avec le physique ; c'était ses yeux. Deux prunelles d'un bleu glacier dans lequel on pouvait tout lire ; la haine, la joie, l'amour, la tristesse. Et si ce mariage avait tout eu du mariage arrangé au fil du temps ils s'étaient faits une raison ; ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre.

Enfance (0-11/12 ans) :
Il faut se remettre dans le contexte pour comprendre mon enfance. A l'époque la médecine n'était pas ce qu'elle était et les conditions de vie n'étaient pas aussi faciles que maintenant. La vie ne tenait qu'à un fil et il n'était pas rare qu'une femme meurt en couche, parfois avec son enfant ou inversement. Je fais parti des enfants qui ont survécu à leur mère.
Quand j'ai ouvert mes yeux pour la première fois, ma génitrice fermait les siens pour la dernière fois. Alors que je poussais mon premier cri en laissant l'air pénétrer mes poumons, elle poussait un dernier soupir en laissant s'échapper le dernier souffle de vie. Elle est morte en me tenant dans ses bras. Ne vous méprenez pas cette perte ne m'a jamais réellement atteint, ou alors sans que je m'en aperçoive, mais j'ai toujours regretté de ne pas l'avoir connu persuadé que tout ce que je possédais je le tenais d'elle. Comme mon prénom Faydo dont elle adorait la consonance paraît il.

Elle ne voulait rien de banal pour moi, à commencer par mon identité. Toute sa vie elle avait été traité comme une fille de, une enfant comme les autres prédestinée à rien de bien excitant. C'était une aventurière, une avant-gardiste qui aurait pu être à la tête du premier mouvement féministe si elle n'était pas morte en couche.
Mon père ne s'est pas remarié après ça, il a préféré gardé ma mère dans son cœur et de toute façon je lui suffisais amplement ; j'étais un garçon et il pouvait ainsi faire perdurer son nom. Non, je n'étais pas un enfant malheureux bien au contraire. Très jeune mon paternel m'a inculqué le plaisir des choses simples, m'enseignant que l'argent ne ferait pas de moi quelqu'un de meilleur et ce même si la pauvreté aurait tendance à me tenter à sombrer vers la richesse.
C'est lui qui m'a apprit à lire, dans la mesure de sa connaissance, en revanche j'ai du apprendre à écrire par moi-même. Il m'a apprit à cultiver la terre, à en faire une allier. Tout ceci me suffisait amplement, jusqu'à ce que je commence à tomber malade.

Oui, ma mère m'avait donné beaucoup et sa santé fragile faisait parti de son héritage. Le cœur fragile je m'épuisais très vite dans les efforts physiques et passais donc plus de temps à lire les ouvrages que mon père me rapportait d'amis qui compatissaient à sa douleur ; sa femme était morte et son fils se mettait à flancher médicalement.
Je n'allais pas à l'école, aucun précepteur ne venait m'éduquer, simplement parce que mon père craignait de me voir m'éteindre au contact des habitants ou mêmes des microbes qui flottaient dans l'air.
Malgré tout je persiste, j'ai eu une enfance heureuse, aussi heureuse qu'un enfant comme moi aurait pu l'espérer à une époque comme celle où je suis né. Si je n'ai pas vraiment apprit à vivre en société durant cette courte période, j'ai appris plus qu'un enfant noble aurait pu apprendre.
La seule chose qui entache cette période de ma vie, c'est le fait que mon père ait accepté la place que lui offrait le roi, simplement parce qu'il voyait en cette opportunité de quoi gagner plus et dépenser pour me payer les meilleurs médecins possibles.

Adolescence (12-18 ans): {Texte à Ajouter} Parlez nous de tout ce qu'un adolescent peut faire : ses premiers amours, la cigarette, la drogue peut être, l'évolution de la relation avec ses parents, son premier job.

La Majorité (18-21/22 ans) : {Texte à Ajouter} Votre personnage est en âge de voter, c'est une période transitoire entre sa vie d'adulte et l'adolescence. Continue-t-il ses études ? A-t-il un travail ? Est-il encore sous le toit familial ?

La Maturité (22 ans - ?? ans) : {Texte à Ajouter} Votre personnage est désormais libre et indépendant pour la plupart. Racontez nous sa vie à présent. Est-il marié ? A-t-il l'intention de fonder une famille ? A-t-il déjà été licencié d'un travail ? Dites nous les expériences qu'il a connues.

Citation :

C'est ici que nous allons tester votre niveau d'écriture. C'est un exercice assez simple, mais vous ne pouvez pas y échapper. Le minimum à faire est donc les 15 lignes réglementaires. Vous devez donc mettre en scène votre personnage dans sa vie de tout les jours, dans une situation qui lui corresponde et qui soit réaliste. Ce test rp peut constituer votre premier topic que vous pourrez poster dans le jeu une fois validé. Bonne inspiration pour celui-ci.

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